LOVE ME, Love My Doll, est un clin d'œil au documentaire du même nom où des filles-poupées apparaissent comme un accès à des corps parfaits, malléables et « scintillants » par leur jeunesse éternelle. Entre modèles de beauté, fillettes sexuellement épanouies et poupées gonflables, la glace est mince. La jeune fille est dans notre culture un motif luxueux de marchandise et de marchandisation. La poupée vend du rêve (des assurances aussi), elle fait fantasmer… La catin exige le respect, engendre le monnayable. Elle est la marchandise qu’on ne peut pas facilement brûler, parce qu’en la brûlant on se met aussi à vif.
Projet de mémoire-création dans le cadre de mon parcours à la maitrise – Collages et peinture : Explorations d'archétypes de figures féminines, espaces défigurés.
Le projet a été en partie ou en totalité présenté à La Centrale Galerie Powerhouse (Montréal), le centre d'artistes Galerie B-312 et lors du projet CAM en tournée initié par B-312.
Télécharger le mémoire complet
Le projet a été en partie ou en totalité présenté à La Centrale Galerie Powerhouse (Montréal), le centre d'artistes Galerie B-312 et lors du projet CAM en tournée initié par B-312.
Télécharger le mémoire complet
Proudly powered by Weebly